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Traiter la dorsalgie avec la tecarthérapie Winback
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Traiter la dorsalgie avec la tecarthérapie Winback

La dorsalgie, une douleur localisée :

Comme dans le cas de la cervicalgie ou de la lombalgie, la dorsalgie regroupe un ensemble de douleurs située au niveau du rachis dorsal. Ses 12 vertèbres constituent la partie moyenne de la colonne.

On distingue deux traits particuliers à cette région dorsale. Effectivement, sa forme suit un cours inverse à celui des cervicales et des lombaires : c’est la cyphose dorsale. Ensuite, les côtes rejoignent de chaque côté les vertèbres et forment la cage thoracique. Toute cette structure osseuse est de facto peu mobile et très stable. Les contraintes qui s’exercent sur ses régions sont donc particulièrement dommageable. Par exemple la compression de la cage thoracique entraîne des difficultés respiratoires évidentes.

Petit rappel sur les différents types de douleurs :

La majorité de ces douleurs se situent dans les tissus mous : dans les ligaments et les muscles principalement. Les postures inadéquates sont un facteur détonant de ces douleurs. Les déséquilibres des blocs corporels (cervical, dorsal et lombaire) sont interconnectés par les chaînes musculaires. N’importe quel déséquilibre d’un bloc modifiera l’autre et il altérera la correcte mécanique articulaire vertébral et aussi respiratoire.

La douleur mécanique : Déclenchée par les mouvements, elle s’intensifie durant la journée et le repos la soulage de manière générale. C’est notamment le cas de l’arthrose.

La douleur posturale : Elle résulte des mauvaises habitudes ou de postures inconvenantes dans la journée.

La douleur traumatique : Survenant à la suite d’incidents comme un accident d’automobile (pareillement que pour les cervicalgies), des chutes ou d’autres traumatismes.

La douleur neurologique : Elle est plus importante en début et en fin de journée, et elle est souvent accompagnée de raideur. Le repos n’estompe en rien ses effets, c’est lors de la journée quand l’activité débute que la raideur s’atténue.

La région dorsale : un espace schématiquement divisible en trois

La partie supérieure de la région dorsale est liée aux muscles cervicaux par la lordose cervicale. C’est pourquoi des lésions sur ceux-ci peuvent provoquer ou exacerber les douleurs dorsales. De même, une mauvaise posture de la tête peut peser sur la colonne et constituer un facteur aggravant.

Entre les omoplates, on retrouve la zone médiane. Les principales pathologies qui l’affectent proviennent de dysfonctions articulaires entre tête, côtes et le tronc vertébral. Dans le cas de dysfonction costo-vertébrale, on parle d’intercostalgie par exemple.

La zone inférieure quant à elle rejoint les muscles lombaires dans la lordose lombaire. Semblable à la partie supérieure, ceux-ci sont bien souvent la cause d’une dorsalgie.

L’origine des dorsalgies

La proportion de gens ayant souffert de dorsalgie est plus faible que dans le cas des cervicalgies ou des lombalgies (13.6% contre 20,6 et 36,4%). Autre fait majeur : les femmes sont deux fois plus concernées que les hommes. Pour expliquer cet écart, on peut notamment penser au cycle menstruel, la ménopause ou la grossesse.

Les dorsalgies sont bien souvent des pathologies chroniques qui se construisent et s’installent petit à petit, avec des mauvaises postures régulières. Les douleurs sont souvent diffuses, mais il arrive qu’elles soient très localisées et viennent gêner la respiration.

Les dorsalgies sont souvent liées au mode de vie de la personne. La sédentarité et notamment le travail au bureau sont des exemples révélateurs où le sujet va adopter durablement une posture pesante pour l’ensemble de la structure du corps. Même processus dans des cas de surpoids, de manque d’activité ou de grossesse : accablée par le poids, l’ensemble du dos est sollicité et l’équilibre est perturbé.

Le stress est aussi un facteur aggravant puisque le dos est très sensible à la tension musculaire. Lorsque les tissus de soutien sont surutilisés et tendus, le mouvement des vertèbres est restreint. L’inflammation finit par toucher les tissus du système nerveux, et ils deviennent hyperactifs. C’est alors que ce dernier dysfonctionne, les messages nerveux souffrent d’interférences. La douleur qu’enregistre le nerf provient fréquemment d’un spasme musculaire causé par l’altération mécanique des articulations costaux-vertébrales. Il arrive que l’estomac se mette à produire excessivement de l’acide, conduisant à des brûlures d’estomac. Si ce souci devient chronique, alors on risque l’ulcère. Mais ces anomalies nerveuses peuvent tout aussi bien toucher d’autres organes comme le cœur ou les poumons.

Le problème que peuvent poser les troubles viscéraux dont le diagnostic, c’est qu’il peut en résulter chez le patient une douleur projetée. Ses organes ne souffriront pas directement, il situera la douleur dans son dos et pourra l’amener à mal la décrire.

Une des causes dégénératives principales est l’arthrose ou la discarthrose, maladie chronique très fréquente durant la vieillesse. La discarthrose va venir dégrader progressivement le disque intervertébral au point de le faire quasi disparaître. Ce dernier a pour but d’amortir les chocs que provoquent les mouvements et de faire un pont entre deux pièces osseuses. Il est donc crucial dans la mobilité des articulations. C’est donc pourquoi sa détérioration entraîne douleur et entrave dans les mouvements quotidiens.

Traiter la dorsalgie avec la TECAR thérapie Winback :

La physiothérapie, qu’elle soit effectué par un kinésithérapeute ou un ostéopathe est un bienfait à court terme évident puisqu’il va jouer sur la souplesse de la cage thoracique via les fascias et les ligaments, tous deux très nerveux. Le praticien va aussi pouvoir manipuler les segments mobiles dorsaux. Via son antalgie immédiate et durable, Winback facilitera les gestes du professionnel en lui permettant d’accomplir le nécessaire sans inconfort pour le patient.

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Si l’on veut régler un problème chronique à terme, il faut compenser les désordres posturaux, certes, mais aussi et surtout traiter le problème à sa source, en profondeur. C’est pourquoi nous avons mis au point Winback 6.0 : Deep Fractal. L’énergie fractionnelle transmise par des électrodes RET+ permet d’apporter une solution radicale à des pathologies semblables aux dorsalgies.

Cas particulier : le dos plat

Dans le cas d’un dos plat, le problème est posé à l’envers. Il faut en effet traiter en priorité les tensions internes qui viennent tracter vers l’avant les vertèbres dorsales. On peut ainsi redonner au dos sa cyphose naturelle, en rééquilibrant les structures dorsales.

Rendre le client investi est aussi un prérequis. Bien souvent une insuffisance musculaire est en jeu dans la dorsalgie, et il convient donc de muscler les muscles postérieurs et d’étirer les antérieurs. Ainsi seulement le patient pourra espérer retrouver une mobilité dorsale optimale. C’est pourquoi il convient ainsi de ne pas adopter une complète immobilité. Cette dernière pourrait au contraire aggraver l’état du patient, puisqu’elle n’entretient pas l’intégrité musculaire.

Les conseils musculation de Winback : le pull-over

Exercice très intéressant à réaliser si vous souffrez de douleurs dorsales, il travaille les muscles postérieurs du dos et les pectoraux. Il comporte aussi l’avantage d’ouvrir la cage thoracique lors de son mouvement extensif.

Allongé sur un bac, munissez-vous d’un poids et tendez les bras vers l’arrière, avant de les ramener vers l’avant, au-dessus des pectoraux. Gardez les abdominaux contractés pendant tout le mouvement pour ne pas creuser le dos, ce qui mènerait à une mauvaise tension de celui-ci.

Une musculature harmonieuse est une assurance de stabilité et d’équilibre dans votre corps et minimise les chances de troubles mécaniques. N’hésitez jamais à pratiquer une activité physique, même avec l’âge. Il convient certes d’adapter les mouvements, mais pas de les abandonner.

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